Nous avons recueilli le témoignage de l’équipe des ressources humaines de la Chambre de Commerce Internationale (ICC). L’intervention de Yogist s’est faite sur 4 jours en septembre : une conférence présentée par Anne-Charlotte Vuccino, fondatrice et CEO de Yogist, puis de 3 ateliers Yogist. C’est François Dréan, Chargé de Communication Interne et Diversité & Inclusion, qui a bien voulu répondre à nos questions.
Dans quel contexte d’entreprise avez-vous fait appel à Yogist – Well At Work ?
Réponse de François Dréan :
ICC regroupe environ 300 collaborateurs. Le travail est très intense, alors le management a décidé de s’ouvrir davantage à la problématique du bien-être au travail, en adéquation avec la culture de la bienveillance si chère à notre institution.
Nous avons donc organisé une semaine de bien-être en interne, qu’on a voulu assez inclusive, pour qu’elle soit accessible autant au siège à Paris que dans nos bureaux à l’étranger. 90% de notre masse salariale travaille à Paris, et de ce fait les salariés basés à l’étranger peuvent se sentir exclus. Nous souhaitions donc des solutions en anglais et accessibles à tous.
De plus, nous avons délibérément choisi d’organiser les ateliers de bien-être sur les heures de travail. L’idée est de signaler à nos collaborateurs que c’est OK de prendre du temps pour soi sur le temps de travail. Cela nous a semblé primordial pour bien ancrer ce thème dans notre culture d’entreprise.
Comment avez-vous connu Yogist ?
Réponse de François Dréan :
Pour cette semaine de bien-être organisée en interne, nous avions en tête plusieurs initiatives : breakfasts, cours de sport (Zumba, yoga…), interventions extérieures. Nous nous sommes donc mis à la recherche de prestataires sur Internet, qui pouvaient répondre à notre demande.
Concernant Yogist, il se trouve que l’une d’entre nous, Floriane Stefanello – HR manager, avait connu Yogist dans son ancien travail. C’est donc tout naturellement qu’elle nous l’a recommandé, avec en particulier le jeu du Well At Work qui lui avait vraiment plu pour son côté collaboratif.
Comment s’est déroulée l’intervention de Yogist chez ICC ?
Réponse de François Dréan :
L’intervention de Yogist était prévue en deux temps : la semaine précédant notre programme de bien-être en entreprise, nous avions planifié une keynote d’Anne-Charlotte Vuccino. Le but était de présenter l’initiative et donner envie à nos collaborateurs d’assister aux ateliers prévus la semaine suivante. Malheureusement, Anne-Charlotte a eu le Covid et a dû annuler sa venue. Nous l’avons ainsi reprogrammée la veille des trois ateliers Yogist. Une bonne centaine de collaborateurs a pu assister à cette première conférence.
Le premier atelier nécessitait d’être présent dans nos bureaux pour le jeu du Well At Work. Puis les deux ateliers suivants étaient virtuels, afin d’inclure nos bureaux à l’étranger. Nous avions donné la possibilité à chacun d’éteindre leur caméra afin de se sentir libre dans la pratique.
Comment les employés ont-ils réagi à la méthode Yogist ?
Réponse de François Dréan :
Dans l’ensemble, l’intervention de Yogist a été très bien accueillie par nos collaborateurs. Nous nous en sommes rendus compte non seulement en direct au cours de l’intervention, mais aussi grâce à notre enquête interne de satisfaction.
Nous avons eu de très bons retours sur la semaine du bien-être dans sa globalité, avec des notes de satisfaction très hautes pour la keynote d’Anne-Charlotte Vuccino, pour l’intervenante des ateliers Yogist et pour les ateliers Yogist en eux-mêmes.
À la question : « quels éléments de la semaine du bien-être allez-vous inclure dans vos habitudes ? », les exercices de relaxation vus avec Yogist arrivent en tête. Nous réfléchissons d’ailleurs actuellement à un moyen de pérenniser cette intervention Yogist, afin de l’inscrire dans un programme plus large qui sera appliqué tout au long de l’année.
”I loved the Yogist workshop on Tuesday because it provided solutions directly tailored to office work. I also really enjoyed the yoga session on Thursday - and I normally hate yoga!!
Y a-t-il des aspects particuliers de l’intervention de Yogist qui ont été particulièrement appréciés par vos employés ?
Réponse de François Dréan :
Nous avons reçu des retours positifs verbalement en plus du questionnaire de satisfaction. Lors de la conférence préalable, Anne-Charlotte a présenté son parcours et a présenté quelques exercices en teasing. Toutes les personnes présentes se sont prêtées au jeu et ont interagi au cours de la conférence.
Au cours des ateliers Yogist, nos collaborateurs ont appris de nouveaux exercices pour se détendre, pour apprendre à se reposer quand leur cerveau tourne encore à 100 km/h et qu’ils n’arrivent pas à s’endormir le soir. Ils ont également apprécié d’apprendre des exercices de respiration pour bien se réveiller lors du coup de barre dû à la digestion de début d’après-midi. Tous les exercices vus avec Yogist ont été suffisamment concrets pour les aider dans leur vie de tous les jours au travail.
Nous estimons que cette semaine marque un bon début pour les encourager à participer davantage pour les prochaines sessions. Certains collaborateurs n’ont pas pu participer à cause de divergences d’agenda, et d’autres car ils croyaient (à tort) qu’ils allaient faire une réelle pratique de yoga. C’est une question de culture en interne et d’habituer les collaborateurs à ce genre d’initiatives. Nous avons eu en tout cas plusieurs demandes de récurrence de ces actions.
Recommanderiez-vous Yogist – Well At Work à d’autres entreprises intéressées par le bien-être au travail ? Pourquoi en particulier ?
Réponse de François Dréan :
Nous avons eu un très bon contact avec Anne-Charlotte Vuccino. Elle a une véritable histoire derrière la création de Yogist, ça nous parle, ce côté humain et cette passion.
Pour nous, Yogist se démarque d’offres similaires parce qu’on peut vraiment construire quelque chose sur le long terme, avec différentes possibilités :
– la possibilité d’avoir des Yogist certifiés en interne,
– la diversité des exercices
– la possibilité de présenter des exercices adaptés aux grands comme aux petits comités
De plus, ICC comptant une cinquantaine de nationalités différentes parmi ses collaborateurs, nous avions donc besoin d’une intervention en anglais.